Beau temps annoncés pour ce samedi Stéphane est partant pour une virée en montagne Qu'a cela ne tienne RDV pris pour le lendemain avec un départ a la fraÏche Je descend de Montmajou en courant via la directissime un superbe petit chemin qui rejoint Cier de Luchon. Pendant ce temps Stephane monte à Montmajou par la route Bisous a Danielle qui comprends pas Heureusement qu'on est équipé de portable!!! On fini par se rejoindre et on se décide pour tenter le tour des lacs Lac bleu, Lac Charles, Lac Celinda et retour par col de Pinata Direction Vallée du Lys ou les choses sérieuses commence d'entrée Un chemin agréable et ombragé qui nous monte vite vers les cascades de la Houradade.nds pas
Rafraichissant A l'entrée de la prairie, on délaisse donc le sentier du gouffre d'Enfer (qu'on prendra peut-être au retour) pour bifurquer à gauche et remonter la pelouse vers le S.E. On retrouver ensuite un sous-bois plus clairsemé, dans lequel le sentier se fait rapidement plus raide et rocheux On est en canne et on avale le dénivellé On arrive a la croisée des chemins
On prend a droite direction le refuge du Maupas Un peu de répit sur quelques replat pour traverser successivement deux torrents,
et parcourir un système de jolis plateaux gazonnés. On s'approche de la paroi à gauche pour remonter le long d'une faille où descend le torrent, en partie occupée par un névé Quelques nouveaux lacets plus débonnaires dans un bois aéré, et l'on débouche sur une butte d'où l'on redescend de quelques mètres dans la cuvette de la cabane de Prat-Long (visible sur la droite), à l'architecture typique des vieux refuges (1872 m) Le sentier traverse la cuvette et gagne le pied de l'interminable falaise où s'alignent les pylônes du téléphérique EDF (désaffecté en 2010). Le batiment sous la Tusse de Prat Long parait proche mais on n'en finit jamais Encore quelques efforts et on y est
A gauche au dessus du batiment e il y a e nsuite une main courante A utiliser au cas où le rocher seraient mouillé Il y a un peu de gaz On rencontre les premiers névés je suis inquiet pour la suite
Rafraichissant A l'entrée de la prairie, on délaisse donc le sentier du gouffre d'Enfer (qu'on prendra peut-être au retour) pour bifurquer à gauche et remonter la pelouse vers le S.E. On retrouver ensuite un sous-bois plus clairsemé, dans lequel le sentier se fait rapidement plus raide et rocheux On est en canne et on avale le dénivellé On arrive a la croisée des chemins
On prend a droite direction le refuge du Maupas Un peu de répit sur quelques replat pour traverser successivement deux torrents,
et parcourir un système de jolis plateaux gazonnés. On s'approche de la paroi à gauche pour remonter le long d'une faille où descend le torrent, en partie occupée par un névé Quelques nouveaux lacets plus débonnaires dans un bois aéré, et l'on débouche sur une butte d'où l'on redescend de quelques mètres dans la cuvette de la cabane de Prat-Long (visible sur la droite), à l'architecture typique des vieux refuges (1872 m) Le sentier traverse la cuvette et gagne le pied de l'interminable falaise où s'alignent les pylônes du téléphérique EDF (désaffecté en 2010). Le batiment sous la Tusse de Prat Long parait proche mais on n'en finit jamais Encore quelques efforts et on y est
A gauche au dessus du batiment e il y a e nsuite une main courante A utiliser au cas où le rocher seraient mouillé Il y a un peu de gaz On rencontre les premiers névés je suis inquiet pour la suite
On surplombe le lac Vert |
On arrive enfin a un collet dans l'arête de la Tusse de Prat-long
Le plus dur du dénivellé est fait. Le chemin poursuit plus ou moins horizontalement ou en légère descente, traversant des pentes parfois très raides et demande par endroits une certaine prudence surtout que les névés se font plus nombreux
Le Lac Bleu en vue |
On arrive au lac superbe
Le lac est alimentés par une multitudes de cascades et dominés par le Maupas Il fait pas chaud voir les glacons dans le lac
Quelques photos , on partage le sandwich de Stephane (Merci Stephane c'etait mieux que mes gels) et on repart Impossible de poursuivre la montée vers le Lac Charles est trop enneigé, ca va pas le faire en basket C'est parti pour 1200 de descente en courant dans les cailloux On apprécie les derniers metres ou le chemin est plus roulant Superbe balade Faudra revenir pour finir le tour Quadriceps explosé, j'ai eu du mal a descendre les escaliers pendant deux jours
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